L'histoire de Lilie & Koh, My Sweet Family, Macadam Ardent et Zerator nous inspire.
Vivre de sa passion, en faire une source de revenu : c’est ce que nous souhaitons à tous ceux qui en rêvent… ou qui n’osent pas y penser. La vocation de notre solution de paiement est de les aider. Simplement, en toute confiance.
“Jamais je n’aurais pensé devenir ce que je suis aujourd’hui : une créatrice qui dessine, conçoit et fait fabriquer - à Bali ou Bangkok - ses bijoux, proposés sur le net sous sa propre marque. J’ai découvert l’univers du luxe chez Boucheron à Paris, puis chez Cartier à Londres. La haute joaillerie m’a tout de suite fascinée : les parures scintillantes, l’éclat des pierres précieuses. Je trace alors ma route dans la sphère marketing de ces griffes de luxe, avec salaire fixe et jolie vie londonienne. Et pourtant... Il me manque quelque chose. Et si je faisais ce tour du monde dont je rêve depuis si longtemps ? Je pars seule en mode « sac à dos ». Cap sur l’Amérique latine : Pérou, Bolivie, Argentine, Chili ; puis l’Asie : Thaïlande, Bali... Je découvre un artisanat très différent de ce qui peut exister à Paris ou à Londres. Partout où je vais, j’achète des bracelets et colliers fait mains. Ils symbolisent cette trace que je souhaite garder de mes voyages... et j’explore l’idée de m’en servir plus tard. Quand je rentre enfin à Paris, je décide de continuer ce voyage et créer mon entreprise. Mon entourage est sceptique, mais je tiens bon et je me lance dans la création de bijoux avec la volonté d'allier mes deux passions et de créer des bijoux inspirés du voyage et des îles... C'est ainsi qu'est née Lilie & Koh : "Lilie" c'est Nathalie, et "Koh" signifie île en Thaïlandais. Aujourd’hui je gère ma petite entreprise de Paris et voyage régulièrement pour rester en contact avec ces artisans au bout du monde qui cisèlent mes plus belles créations. Je me sens libre.”
“Tout a commencé en Australie, où je suis partie vivre un temps avec mon mari. Je suis journaliste et profite alors de cette géniale parenthèse pour trouver d’autres idées de sujets. A Sydney, je remarque à quel point les accessoires pour bébé ont de l’importance dans l’équipement d’une jeune maman. J’engrange l’idée en 2007, alors que je suis enceinte de ma fille, et c’est à notre retour à Paris quelques mois plus tard qu’elle ressurgit. Une amie me prête sa machine à coudre, et je me mets à la couture, moi qui ne savais rien faire de mes dix petits doigts ! J’irai même jusqu’à fabriquer les tout premiers accessoires mis en ligne sur mon site, que je lance alors que nous venons de nous installer à Marseille. Cette fois, j’attends un petit garçon : Léon. Mon idée n’a cessé de mûrir depuis, et je propose désormais toute une gamme de petits « plus » utiles et pratiques pour les parents : sacs à poussette, crochets et pare-soleil pour poussette, attache-doudou... Ce qui me motive, c’est de faire émerger ce concept anglo-saxon en France pour faciliter le quotidien des parents. Mon métier de journaliste est un vrai « plus » pour réussir dans l’entreprenariat : je rédige moi-même mes communiqués, appelle les journalistes en direct pour faire connaitre mon site My Sweet Family. Mon «e-entreprise», c’est mon troisième bébé ! Le plus exigeant de tous. Les coups de blues existent, bien sûr, mais ils sont passagers. Un message d’une cliente heureuse, et je suis à nouveau reboostée ! Mais attention : ce job là, c’est du « non stop ».”
“Toute jeune, j’admirais les bagues de ma grand-mère. Les bijoux anciens m’intéressent parce qu’ils ont une histoire. Une histoire vraie qui crée un lien affectif et les rend attachants. Cette idée d’ouvrir mon propre site internet dédié à la vente de bijoux anciens s’est dessinée alors que je ne me sentais pas à ma place dans l’agence de Relations Publiques où je travaillais. J’avais besoin de trouver un autre secteur d’activité dans lequel je puisse me spécialiser et ainsi m’épanouir. J’ai quitté mon agence, et cette période de chômage m’a permis de réfléchir sur moi-même et de me recentrer. Ma passion pour les bijoux anciens est devenue une évidence et j’ai alors choisi de suivre une formation sur l’histoire et l’expertise du bijou à l’Ecole Drouot. Aujourd’hui les pièces baroques que je mets en ligne sur Macadam Ardent, je les ai moi-même chinées, elles ont un passé que je prends le temps de rechercher pour le restituer sur mon site. Comme ces bagues de Poilus de la Grande Guerre, en aluminium ou en cuivre, sculptées dans des débris d’éclats d’obus. Bagues « sans valeur » mais ô combien émouvantes ! Elles furent un de mes premiers coups de foudre. Je mène mes chasses aux trésors dans les brocantes et les ventes aux enchères à Paris, Dublin, ou Budapest. Et tant pis si mon hobby grignote mes week-ends ! Cette bulle d’oxygène m’a permis de me reconstruire et de retrouver un autre job, dans une agence de pub cette fois à taille humaine, où règne un véritable esprit de famille. Quant à mes bagues, elles ont déjà « fiancé » et « marié » plusieurs couples ! Peut-on rêver plus belle consécration ?”
“Ma passion dévorante pour les jeux vidéo, je l’ai découverte grâce à mon grand-frère, de 15 ans mon aîné, qui m’a initié dès mon plus jeune âge. Mes parents ont toujours été ouverts d’esprit et ont soutenu mes choix, d’autant que j’avais des facilités scolaires et d’autres passions artistiques : musique, théâtre, montage vidéo. Par manque d’intérêt pour l’école, je loupe mon Bac, que j’ai eu de justesse l’année suivante ! Je me lance alors dans des études supérieures qui concrétisent mon engouement pour l'informatique tout en nourrissant ma passion du live pour laquelle j’intègre différentes structures de gaming. Il était de toute façon impossible d’en vivre à l’époque. Mais un soir de 2010, je me retrouve à commenter une partie de jeu - payée en compliments ! - retransmise en streaming sur une Web TV amateur. De fil en aiguille, ma carrière dans ce milieu se dessine et grâce à ma notoriété montante, je transforme ma passion en travail. Depuis j’anime des émissions ou chroniques sur la toile et commente occasionnellement des compétitions, un peu à l’image d’un animateur télé classique. Mais « streamer » n’est pas un métier comme les autres. A la base, ce boulot était un simple passe-temps. Aujourd’hui, je prends le temps d’exercer mon job chez moi et fais du direct de 17 à 23 heures presque chaque jour dans une grande pièce de mon appartement dédiée à ma passion. Je fais attention à bien séparer travail et vie privée, ZeratoR et Adrien étant deux personnages différents dont les vies s'entremêlent mais ne doivent pas se superposer. Le premier est mon personnage de scène et ma marque, le second c'est celui que je suis vraiment au quotidien. Après quelques années à œuvrer dans un milieu de niche je suis d'autant plus fier de constater son essor aujourd'hui et peut enfin en profiter pleinement.”